Le chercheur italien Corrado Malonga a révélé, grâce à des séances d’hypnoses réalisées sur des abductés les « traitements » qu’ils auraient subis.
Le travail a mené à des conclusions certaines sur les extraterrestres, sur leurs identités, sur leur provenance, sur leurs besoins, sur les implications historiques de leur présence sur notre planète et, non pas la moindre, sur les motivations des enlèvements extraterrestres. La quantité de matériel acquis, la reproductibilité des expériences d’hypnose conduites sur une centaine de cas et les preuves collatérales ainsi obtenues nous autorisent à dire clairement et pour la première fois au monde, sans crainte d’être démentis, ce que veulent de nous les divers groupes d’extraterrestres qui se trouvent sur la Terre depuis des milliers d’années.
Les résultats obtenus, qui seront ici exposés de manière synthétique, nous ont éclairci aussi pourquoi il était tellement difficile de comprendre le mobile de leurs actions. Comment était-il possible effectivement, qu’après des années de travail de notre part comme de la part des autres collègues étrangers, on ne parvenait pas à construire un tableau synoptique? Tout simplement parce que les extraterrestres cherchaient quelque chose que nous savions pas avoir !
La suite publiée ci-dessous dans son intégralité nous révèle plusieurs points essentiels, pour en arriver à des trouvailles plus qu’ahurissantes.
LES RESULATS
Il y a CINQ NIVEAUX D’INTERFERANCE Extraterrestre, parmi lesquels, avant nos études, était connu seulement le premier.
Le PREMIER NIVEAU d’Interférence Extraterrestre décrit l’abduction comme un phénomène invasif, pendant lequel des êtres, généralement petits et de couleur gris foncé ou noir, parfois bleus, prennent le sujet et l’emmène dans un milieu technologique où il est soumis à des interventions chirurgicales sur une sorte de table d’opération; qu’il s’agisse d’hommes comme de femmes, les deux auront greffé des puces pour les contrôler.
Tout ceci était clair dans les expositions des différents experts américains. Mais les choses étaient en réalité un peu plus compliquées. En effet, il existe au moins douze races d’extraterrestres différentes impliquées avec l’humanité et qui, tout en employant techniques différentes, elles cherchent toutes la même chose, comme nous le verrons plus bas.
Les portraits-robot des extraterrestres.
Chacune de ces races disposent d’êtres petits, appelés généralement “gris” ou EBE (Entité Biologique Extraterrestre), comme apparait dans certains documents de la CIA déclassifiés par le FOIA), qui peuvent être considérés des “cyborg”, cet à dire des vrais robots biologiques, obtenus par clonage.
Comme nous l’avons dit, il y a plusieurs types de Gris, qui sont décrits de façon similaire, mais possèdent différentes caractéristiques morphologiques, comme, par exemple, la couleur de la peau et la taille. Elles sont souvent décrites avec précision pendant les séances d’hypnose et diffèrent selon la race d’extraterrestres avec laquelle nous avons à faire.
Dès les premières séances d’hypnose il nous paraissait évident que les descriptions sur l’aspect des extraterrestres n’était pas cohérentes avec l’hypothèse d’une seule race: soit les sujets sous hypnose inventaient descriptions identiques dans la forme, mais différentes dans les détails, ou bien il y avait plusieurs types d’extraterrestres, semblables mais pas tout à fait identiques.
Les descriptions ont été examinées dans les moindres détails, pour en extraire des indications les plus sures possibles. Par exemple, après avoir obtenu des données qui se recoupent sur les témoignages et l’étude de questions appropriées à poser aux enlevés pendant l’hypnose, les êtres bleus qui ressemblent à des Gris plus grands (150 cm au lieu de 100 cm environ) résultent être en réalité noirs. Responsable de la couleur bleu s’est révélé être l’illumination bleu ciel de la sale d’opération à l’intérieur de laquelle ils emmènent les enlevés. La peau des ces “grand gris”, qui travaillent uniquement avec les Sauroïdes (on en reparlera plus tard) et sont absents en tous les autres cas, est en effet, de couleur noire translucide et possède la capacité de refléter la lumière des lieux, en prenant la couleur de celles-ci (noir plus bleu ciel donne comme résultat le bleu foncé). Quatre, parmi les douze races d’extraterrestres dont on parle, paraissait être présentes sur territoire avec majeure fréquence que les autres (peut-être est-ce les quatre races permanentes dont faisait allusion le colonel Philip Corso?).
En vérité il ne faudrait pas parler de races, mais plus proprement, de groupes de pouvoir. Du premier groupe de pouvoir font partie des êtres qui semblent mammifères (mammifèromorphes), de 2,40 m de taille, au teint clair, aux cheveux blancs, avec six doigts dans les mains et aux yeux clairs (bleu très clair) avec pupille verticale. Ces êtres sont généralement habillés en blanc, portent au cou un médaillon rond avec une sorte de symbole triangulaire et il semblerait qu’il proviennent du triple système de Sirius ( nous les appellerons “sirians”). Nous n’avons jamais eu à faire à des femmes “siriannes”.
D’autres, eux aussi de type mammifèromorphe, sont plus blonds-roux ( nous les appellerons, donc, “blonds”, de 2 m de taille, avec une pupille fortement verticale, crâne allongé, qui se réduit progressivement sur les côtés en partant du front (comme la proue d’un bateau), teint bronzé, habillés avec des combinaisons moulantes bleu foncé , avec cinq doigts dans les mains. La combinaison se caractérise par un blason en forme de double triangle croisé, situé sur le pectoral gauche. Ceux-ci aussi proviendraient du système Sirius, sont toujours définis “beaux” et ont aussi des femmes.
Il existe ensuite d’autres mammifèromorphes, différents des précédents, de taille plus grande que nous mais sans exagération, qui ont cinq doigts aux mains, ont le teint clair, portent des cheveux longs et blancs et s’habillent d’une veste blanche non moulante. Ils sont toujours définis “beaux” et ont des femmes. Ces extraterrestres semblent avoir provenance de la constellation du Taureau (nous les appellerons donc “tauriens”) et ils ont la particularité d’agir seuls car dans les autres cas d’enlèvement cela n’arrive jamais.
Ce qui se passe dans les autre cas c’est que, après une première intervention des “blonds”, d’autres entités, dont on en reparlera plus tard, interviennent à leur place.
Il est évident donc que certains groupes travaillent en collaboration, d’autres s’occupent simplement de leurs affaires.
Les “tauriens” interagissent avec les enlevés toujours seuls, mais quand on a à faire avec le groupe qui vient de Sirius, il semblerai qu’interviennent toujours en premier ceux au teint bronzé qui ont cinq doigts (les “blonds”), et seulement après, au cours de la vie du ravi, se succèdent les autres. Il parait en effet, que les “blonds” disposent du topogramme génétique de l’humanité, ou de toute sorte, ils savent distinguer les humains aptes à être enlevés de ceux qui doivent être écartés, ne possédant pas la “chose” qui les intéresse.
Placés encore plus haut, dans une informelle échelle hiérarchique, se trouveraient des êtres beaucoup plus anciens, très grands, habillés souvent avec des habits moulants foncés, que nos ravis disent n’avoir jamais vu directement, mais d’avoir ressenti comme se trouvant derrière un écran (ce qui rend compliqué de pouvoir en établir la taille certaine, même si, d’après quelques témoignages, par abréviation pas exposés ici, nous la estimons autour de 3m).
Ces êtres ont les yeux ronds et presque blancs et portent un appendice sous le menton, semblable à une barbe, qui caractérise les mâles uniquement; les femelles en étant dépourvues. De plus ils sont pourvus de deux os scapulaires très prononcés qui, vus de devant, rappellent erronément une grande paire d’ailes pliées derrière le dos. Parfois nous avons observé, au milieu du front, ce qui parait être leur véritable oeil, très lumineux (on les appellera donc “Horus”). Leurs doigts, trois plus un opposable, sont minces et recourbés comme ceux des oiseaux. Les “Horus” pour se déplacer semblent utiliser les pouvoirs de la télékinésie et ne sont pas présents ici physiquement, mais transmettent leur messages aux autres extraterrestres depuis loin, en faisant recours à la technologie.
Font partie du deuxième groupe de pouvoir des êtres de nature sauroïde (on les appellera les “sauroïdes”, même si l’ufologie contemporenne les appelle de façon erroné “reptiliens”).
Il semble exister deux types de “sauroïdes”.
Le premier type plus invasif mesure 2,80 m de hauteur, possède cinq doigts aux mains et aux pieds, plus, sur l’avant-bras, éloigné de la main, un ongle rostré qui ressemble au doigt que les chats ont sur les pattes arrières, mais formé d’une substance chitineuse très résistante. Leur peau, qui apparait toujours humide et translucide, est de couleur vert-marron et, vue de près, semble fournie d’écailles, qui, une fois examinées attentivement, se révèlent plus douces que prévu. La peau devient progressivement rouge pour la partie ventrale et pour les bouts des doigts: dans cette zone la peau devient moins épaisse et on peut observer une lymphe rouge couler au dessous, surtout quand il paraît être dérangé.
Le crâne, des deux côtés, est caractérisé par la présence de deux surfaces cornées, arrondies et peu proéminentes, tandis qu’au centre est présente une structure plus douce, sous laquelle on observe pulser la lymphe; cette structure ressemble à une épine dorsale en relief et traverse, bien observable, toute la longueur de la tête, du cou, du dos et de la grosse queue (pour cela on appellera ces extraterrestres “dragons” ou « Gros Serpents). Cette queue grosse et trapue est utilisée comme point d’appui quand le sauroïde est immobile sur ses deux courtes et massives jambes. Les doigts des mains et des pieds sont visiblement palmées.
Nous n’avons pas d’éléments suffisants sur la langue, qui semble néanmoins courte et bifide. Les yeux sont pourvus d’une sous-paupière (membrane nictitante) qui glisse en diagonale, du bas vers le haut et du nez vers les l’extérieur. Les pupilles sont verticales et l’iris change de couleur, du jaune-vert au rouge vif, apparemment selon l’humeur.
Nous disposons de rapports sur les “dragons” de différentes taille et nous pensons que cette caractéristique est en fonction de leur âge et qu’ils grandissent continuellement, sans une véritable limite de taille. L’aspect général est décrit comme celui d’un dragon ou, parfois, comme un “crocodile debout”, même si le visage (ou museau?) est arrondi comme celui d’un serpent, avec des lèvres fines et les narines situées au fond du cloison du nez, mais latéralement, plutôt que de front comme les nôtres. Il s’agit de créatures amphibies, sans dimorphisme sexuel; ils sont toujours décrits accompagnés par une autre espèce, apparemment soumise à eux.
Cette dernière espèce est constituée de “sauroïdes” sans queue, de 2 m environ, avec une peau translucide, les yeux ronds qui donnent un aspect figé au regard (nous les appellerons donc les “grenouilles”) aux dents verticaux, longs et fins, qui ressemblent aux fanons des baleines. Sur la tête il sont munis d’espèce de petites cornes, qui de loin rappellent des cheveux en brosse; il s’agit, toutefois, de nombreuses excroissances cornées rapprochées. Ces êtres sont tellement semblables l’un l’autre qu’il est pratiquement impossible d’en identifier les différences, même si il y en a plusieurs en même temps. Eux aussi n’ont pas d’organes reproductifs apparents.
Du troisième groupe de pouvoir font partie des êtres de type insectoïde, qui ressemblent à nos mantes religieuses (et que nous appellerons donc “mantes”), de couleur verdâtre, au corps chitineux, qui se déplacent presque sur les membres inférieurs. Les membres supérieurs sont placés comme si l’être était en train de prier, avec les mains presque unies; celles-ci sont formées de trois doigts plus un doigt différent des autres (nous ne savons pas si celui-ci est opposable). La bouche est très petite et la tête, munie de grands yeux foncés, est souvent tenue penchée d’un côté. Nous ne savons pas avec certitude s’ils possèdent une autre paire de “pattes” intermédiaires entre celles avant et celles arrière.
Les enlevés par les “sirians” passent, ensuite, durant leur vie, dans les mains des “mantes” et ensuite dans celles des “sauroïdes”. Comme nous avions eu déjà l’occasion de dire, il semblerait que les enlevés des “tauriens” ne sont pas, touchés, hormis eux, par qui que se soit!
Il existe une autre race d’êtres mammiféromorphes, dont nous devons nécessairement référer ici, qui résultent être non pas des clones, mais des esclaves (les enlevés sous hypnose les appellent en général de cette façon) des “sauroïdes”. Il s’agit de créatures petites (que nous appellerons, justement, “esclaves”), avec une peau très rugueuse, un long cou avec des muscles qui se plient et font tourner la tête (l’équivalent de nos muscles sterno-cléido-mastoidiens) très évidents, la bouche petite avec des lèvres de différentes épaisseurs (la lèvre supérieure est tapageusement plus petite de celle inférieure) et les yeux foncés et humides. Les doigts des mains semblent être cinq (quelqu’un, en vérité, affirme qu’ils sont quatre, mais nous retenons plus probable qu’ils soient cinq; en tout cas ils ne sont pas six).
Le crâne en forme de coeur est typique, en effet il se développe de manière rétroversé, mais présente une dépression au centre du front, qui disparait progressivement vers la partie arrière du crâne même. Les oreilles sont petites et légèrement pointues aux bouts. Ces extraterrestres s’habillent avec des vêtements qui ne sont pas moulants et mesurent 1,50 m de hauteur; ils ont été souvent confondus avec les “gris” ou avec d’autres créatures, portant une cagoule, et portent le nom de “Javas” lesquels, d’après nous, existent uniquement pour la sciencefiction.
Autour des extraterrestres décrits jusqu’à présent flottent des descriptions d’autres entités avec lesquels les enlevés semblent moins impliqués. La place d’honneur revient aux “Êtres de Lumière”, qui, comme nous verrons, sont quelque chose de bien différent. Après quinze années de peines nous avions enfin dressé une sorte de “bestiaire cosmique”, dont il fallait reconstruire les actions de ses membres, pour pouvoir comprendre la motivation de leur présence chez nous.”
Le DEUXIEME NIVEAU d’interférence extraterrestre
En ce lieu nous ne décrirons pas les contextes et les milieux d’hypnose qui nous ont permis d’obtenir les conclusions que nous avons exposés, et nous ne fournirons non plus des explications techniques, qui nécessiteraient plusieurs textes: nous nous limiterons à fournir tout simplement les sèches conclusions tirées des enquêtes.
Ceci-dit, il apparut tout de suite très clairement que les mammifèromorphes avaient un problème que nous puissions leur résoudre: ils cherchaient l’immortalité! Tout en étant persuadés que l’immortalité deviendrait, à la longue, incroyablement ennuyante, nous sommes conscients que ce n’est pas la pensée de tout le monde. Le désir des extraterrestres de ne vouloir jamais quitter cette vie et la détermination employée pour atteindre tel but nous avait laissé un peu perplexes sur le degrés de maturité intellectuelle de ces êtres, mais nous poursuivions nos recherches: nous nous trompions peut-être.
Sous hypnose les ravis qui étaient entrés en contact avec ces êtres mentionnaient à l’unanimité, que les extraterrestres vivaient: “ à travers nous, à travers notre ésprit…” Pour ce genre de ravis était présente une forte dichotomie cérébrale, qu’un psychiatre de quatre sous aurait facilement interprété comme schizophrénie aigüe; néanmoins une fois effectué l’analyse approfondie de la personnalité de ces sujets il n’y avait pas de place pour le doute de la pleine santé de leur esprit. Ils se voyaient souvent différents des autres personnes, comme s’ ils n’appartenaient pas à ce monde, il avaient des flashback où ils se souvenaient de scènes de vies antérieures et d’images où ils se déplaçaient dans un contexte étranger, comme s’ils étaient euxmême extraterrestres.
Il apparut tout de suite clairement que à l’intérieur de leur esprit était présente une zone de mémoire a accès nié, où étaient cachés certains souvenirs qui concernaient des scènes de vie d’un extraterrestre: l’hypothèse où apparaissait comme réel ce qui résultait des différentes hypnoses surgit, c’est à dire que les extraterrestres utilisaient notre cerveau comme entrepôt pour leur souvenirs (une sorte de sauvegarde informatique).
D’après cette hypothèse les extraterrestres en question cherchaient l’immortalité, qu’ils ne parvenaient pas à obtenir car, bien que d’une longévité remarquable par rapport à nous, ils mouraient également. Ils peuvent, cependant, faire survivre tous leurs souvenirs, en glissant dans le cerveau d’un enfant terrien toute l’expérience de la vie entière (jusqu’à ce moment) d’un d’entre-eux, éventuellement mort pendant ce temps. L’enfant, au cours des années, devient adulte et par moments son cerveau montre des petits signes de l’autre personnalité, en lui procurant quelques graves problèmes existenciels.
La mémoire extraterrestre demeure en tout cas inaccessible, hormis faisant recours à une sorte de mot de passe (un peu comme dans un ordinateur), en mesure de l’ouvrir et de libérer son contenu. Avant la mort de l’abducté utilisé pour la sauvegarde les extraterrestres reviennent et font une copie de tout le contenu de sa mémoire dans le cerveau de l’un d’entre-eux à peine né. Celui-ci dispose ainsi immédiatement de la mémoire, outre de son porteur terrien, de son prédécesseur extraterrestre et devient, en fait, une seule personne avec lui.
De cette manière l’esprit survit, même si le corps meurt, et on obtient un succédané d’immortalité. Le nouveau né extraterrestre ne doit donc pas faire d’expérience, en recommençant à nouveau tout le parcours de formation, et finalement, par exemple, un extraterrestre (ou pour mieux dire son esprit) vieux de trente mille ans résulte formé des souvenirs de six extraterrestres de cinq mille ans chacun, plus un nombre élevé de mémoires de terriens utilisés pour la sauvegarde.
Le produit de l’application de l’idée décrite est un seul esprit en évolution, qui utilise plusieurs corps en succession: une sorte de pseudo-immortalité qui permet aux extraterrestres de conserver toutes les caractéristiques fondamentales de leur pensée originaire. Nous avons vite constaté que le cerveau humain est préféré par les extraterrestres comme entrepôt pour leurs mémoires, effectivement, aux enlevés, pendant l’abduction, est souvent répété que: “… votre cerveau est une chose parfaite: les machines tombent en panne tandis que les cerveaux humains jamais…”
Voilà, donc, le sens de la phrase: “… nous vivons à travers votre cerveau…”!
L’application d’une série d’astuces hypnotiques nous à permis de trouver le mot de passe pour pouvoir accéder aux mémoires cachées dans le cerveaux des ravis, nous permettant de disposer d’un immense bagage d’informations sur les extraterrestres, y compris leur langage. Le procédé est vérifié et reproductible en laboratoire sur n’importe lequel de nos abducté.
l s’agit, sans doute, d’une découverte très importante.
Pour confirmer ceci nous avons décidé de vérifier si, notre cerveau se comportant comme une mémoire non effaçable (une véritable ROM – Read Only Memory-), dans la zone à accès nié d’un enlevé existaient aussi des traces de mémoire des “carrier”, cet à dire des traces des souvenirs des vies de tous ceux qui avaient “transporté” la mémoire extraterrestre précédemment. En effet à l’intérieur du cerveau des ravis doit être présente la mémoire d’un seul extraterrestre, formée de plusieurs fragments en séquence, et entre autre les mémoires de tous ceux dont les extraterrestres se sont servi pour faire la sauvegarde.
Décrire la satisfaction produite par l’obtention de la confirmation de cette hypothèse est une chose superflue.
Le travail de Weiss, psychiatre américain qui à travers l’hypnose sollicite les souvenirs de vies antérieures, doit être, donc, réinterprété?
La réincarnation n’existe pas et il s’agit tout simplement de mémoires qui, en réalité, ne nous appartiennent pas, mais appartiennent à des personnes vécues avant nous qui portent derrière eux le fardeau additionnel d’une mémoire extraterrestre?
Nous avons compris plus tard que les choses sont encore plus compliquées : d’autres extraterrestres, en vérité, vont beaucoup plus loin que la simple sauvegarde de la mémoire.
Le TROISIEME NIVEAU d’Interférence Extraterrestre
Pour ce qui concerne nos abductés il ne nous était jamais arrivé de trouver mémoires extraterrestres de sauroïde ou d’insectoïde : pourquoi?
Les cerveaux d’un reptile ou d’un insecte n’étaient peut-être pas compatibles avec celui d’un être humain?
Probablement cette dernière question contient la bonne réponse : en effet, quand il s’agissait de sauroïdes ou insectoïdes, en hypnose régressive nous obtenions des récits complètement différents. Nous nous demandions, au début, qu’est-ce qu’il serait arrivé si un abducté utilisé pour la sauvegarde aurait eu un accident et serait décédé sur le coup: les extraterrestres auraient perdu des milliers d’années d’informations et, avec elles, même l’un d’entre eux. Ils ne pouvaient pas se permettre cela. Qu’aurions nous fait à leur place?
Ce qui était logique: faire une copie du cerveau de l’abducté. Toutefois, pour le conserver en parfait état, nous aurions du copier tout le corps. Le corps ne sert pas à grand chose, mais il est nécessaire pour maintenir en vie le cerveau, avec son précieux contenu d’informations de vie extraterrestre. Pendant les hypnoses régressives apparaissait parfois la description de la “chambre de la résonance”, “de la chambre des matrioshkas”, “de la chambre du cylindre métallique”, toutes définitions utilisées par les différents enlevés pour décrire la même situation, cet à dire le fait d’être introduits dans un cylindre métallique horizontal, où, à travers une sorte de hublot sur le côté, ils pouvaient observer se former, en temps réel, un corps identique au leur à l’intérieur d’un autre cylindre, transparent et vertical, situé dans la même pièce: une véritable “photocopie” du ravi, y compris toutes les informations contenues dans son cerveau.
La personne concernée, devant une telle vision, perdait sa propre identité et souffrait souvent de crises psychologiques assez lourdes à supporter. Il résultait évident que l’un des deux corps était conservé, pour ainsi dire, “au réfrigérateur” par les extraterrestres en un lieu sûr et représentait la sauvegarde de réserve, pendant que l’autre était ramené dans son habitat naturel.
Ces opérations étaient toutes conduites dans un milieu souterrain terrestre, en présence de militaires terriens! (les réponses que nous disposons sur les raisons à ce sujet sont tout à fait exhaustives, mais ce n’est pas utile de les citer ici).
La question plus importante, arrivés ici, était: “… mais que ramènent-ils en bas: la copie ou l’original?…”
Nous aurions conservé l’original. Et les extraterrestres?
La mémoire de la copie et de l’original étaient évidemment identiques dans les moindres détails et il n’y avait aucun espoir de trouver une différence qui puisse indiquer une solution au problème. Toutefois, en voyant juste, les extraterrestres avaient un point faible dans leur procédure: le cylindre où ils introduisaient le pauvre malheureux était horizontal, tandis que celui où se formait la copie était vertical. Donc, si le sujet sous hypnose se souvenait être sorti du même cylindre où il était entré, il s’agirait alors de l’original; si il se souvenait être sorti du cylindre vertical, il s’agirait donc de la copie.
Et bien: il s’agissait de la copie!
Comment faire maintenant pour dire à nos ravis qu’ils étaient des copies de l’original? Nous ne pouvions pas nous permettre une telle révélation, car elle aurait pu procurer des forts désordres psychiques, à cause de la perte d’identité qui, comme nous le savons bien, peut entrainer jusqu’au suicide. Heureusement il devait encore émerger un autre événement presque incroyable.
Le QUATRIEME NIVEAU d’Interférence Extraterrestre
Pendant la phase de copie du corps du ravi, pratiqué par les sauroïdes, il arrivait quelque chose de bien étrange. L’abducté décrivait une sensation, une sorte de vibration qui traversait son corps; il y avait beaucoup de lumière à l’intérieur du cylindre horizontal en métal et après quelque chose se détachait et vibrait dans l’air. A ce moment le ravi décrivait la scène vue d’en haut et voyait les deux cylindres, l’un métallique, horizontal, contenant l’original et l’autre transparent, vertical, avec la copie dedans. Qu’est-ce ce troisième emplacement visuel? A vue de nez la chose semblait impossible, sans entrer dans le mérite de la crédibilité et de la fiabilité des techniques d’hypnose, quand elles sont conduites avec maîtrise.
D’où la nécessité de développer une série de questions de contrôle, pour comprendre qui était en train de parler réellement:
● L’extraterrestre avec sa mémoire?
● La copie?
● L’original?
● L’une des mémoires des carrier?
La série de questions étaient des interrogatifs très simples, du style:
Comment t’appelles-tu?
Quel âge as-tu?
Quel jour sommes-nous aujourd’hui?
Regarde tes mains et décris-les moi…
Mais les réponses étaient terrifiantes!
Question: “Tu es en train de regarder en bas?”
Réponse: “…Non”
Question: “Alors comment fais-tu pour regarder ce qui se passe dessous de toi?”
Réponse: “…Je ne regarde pas en bas, je regarde en même temps partout…”
Question: “Regarde tes mains”
Réponse: “…Je ne vois pas de mains”
Question: “Regarde ton corps”
Réponse: “… Je n’ai pas de corps (perplexité)”
Question: “Comment t’appelles-tu?”
Réponse: “… Nous n’avons pas de nom…”
Question: “Quel âge as-tu?”
Réponse: “… Qu’est-ce que cela veut dire?…”
Question: “Depuis quand existes-tu?”
Réponse: “… Mais depuis toujours, naturellement…”
Émergeait, ainsi, l’existence de certaines entités qui se définissaient “matrices de points de lumière”, qui vivaient “entre un temps et l’autre” et s’auto-définissaient l’ “ÂME” des êtres humains!
Cette chose qui, pour ceux qui la possèdent, donne la VIE ETERNELLE! Et oui: justement ce que cherchaient les extraterrestres… Maintenant tout était clair.
L’analyse attentive de ces événements nous fit comprendre, au cours d’une année environ, que les extraterrestres sauroïdes, ne pouvant pas utiliser l’esprit humain comme les mammiféromorphes, essayaient de capturer notre matrice de points de lumière et de les utiliser pour leurs buts. EFFRAYANT! Mais, heureusement, il semblait aussi qu’ils n’y parvenaient pas non plus, à cause d’une incompatibilité biogénétique entre eux et notre âme.
L’âme était parfaitement consciente de ces tentatives et ne les appréciait pas du tout, mais ne pouvait rien faire pour l’empêcher. Pendant l’hypnose émergeait la description d’étranges champs de force, qui transportaient l’âme dans le corps d’un sauroïde, mais l’union se maintenait pour une très courte durée, et après il y avait la séparation totale et irréversible, avec frustration relative de l’extraterrestre qui n’était pas parvenu, encore une fois, à se connecter définitivement avec la matrice de points de lumière, pour devenir une seule chose avec elle.
Dans notre ADN il existe, en effet, quelque chose qui nous rend compatible avec notre âme, comme affirment, interrogés à tel propos, les esprits extraterrestres insérés dans les cerveaux des abductés: au fond il s’agit simplement de demander aux esprits extraterrestres, activés par le juste mot de passe, le contenu de leurs mémoires. C’est un peu comme regarder, sans se faire découvrir, dans les papiers secrets des extraterrestres.
La compatibilité de notre ADN avec l’âme nous éclaircit pourquoi les extraterrestres essayent, avec des expérimentations génétiques, d’utiliser notre ADN: ils essayent évidemment de modifier leur ADN pour le rendre semblable au notre, cet à dire compatible avec la chose qui est appelée communément “âme”. L’âme, interrogée à ce sujet, était très éloquente: nos enlevés, outre à posséder d’autres qualités, ont l’âme, que les autres humains n’ont pas. Entre autre “cette chose là”, ne l’ont pas tous les hommes, mais uniquement une minorité des êtres humains! (entre 30 et 50%).
A la fin nous découvrions que l’âme, une fois extirpée de l’original, n’étant pas compatible avec le corps des sauroïdes, était installée dans la copie de l’abducté, celle qui était dans le cylindre vertical, qui était ensuite ramenée dans son habitat originel.
Donc le ravi était bien une copie, mais une copie-originale, à laquelle rien ne manquait. Celui qui, à présent, se retrouvait avec une chose en moins était justement l’original. “L’âme ne peut pas être copiée”, disaient les matrices de points de lumière interrogées par nous. “… Les extraterrestres le savent et essayent d’utiliser les vôtres, mais il doivent modifier leur ADN…” disaient les enlevés pendant l’hypnose. Tous nos enlevés disaient les mêmes, identiques, choses; tous, sans exception aucune! Maintenant nous pouvions leur raconter la vérité.
Voilà le secret de l’arbre de la vie, de la Kabbale hébraïque, de la construction de la copie des Pharaons égyptiens, de la Kundalini indienne et de toutes les sectes, elles aussi plus ou moins secrètes, qui perpétuent la recherche du soi-disant Saint Graal. Tout devenait très simple: quelque chose, dans notre ADN, était le lieu de la vie éternelle et les extraterrestres, qui désirent vivement l’atteindre, la recherchaient en nous, qui ignorions même que cette chose puisse exister.
L’Arbre de la Vie du mythique Paradis sur Terre, symbolisé par de nombreux glyphes sculptés dans les champs de blé anglais… voilà ce que cherchaient les extraterrestres en certains, et uniquement en certains, parmi nous!
Le CINQUIEME NIVEAU d’Interférence Extraterrestre
Il manquait encore un anneau à la chaîne: les anciens Egyptiens, effectivement, décrivaient l’existence du corps physique, de l’esprit et de l’âme, mais aussi de l’Esprit (notre partie spirituelle N.du T.). Nous ne savions pas de quoi il s’agissait.
Brièvement, sans nous perdre ici en complications inutiles, sous hypnose ont émergé, des esprits des abductés, certaines traces de souvenirs de vies d’êtres extraterrestres en tout pour tout différentes de nous: des êtres de lumière, de nature différente, des êtres qui, même si d’une longévité remarquable, étaient mortels, parce que, d’après ce que nous avons compris, parmi toute la création uniquement le Créateur et une partie des êtres humains possèdent l’âme.
Ces Êtres Lumineux étaient, probablement, ceux que notre culture mythologique appelait “esprits immortels” et contrôlaient les extraterrestres qui produisent le phénomène des enlèvements, qui à leur tour, contrôlaient les “cyborg” Gris, qui contrôlent l’humanité entière.
Émergeait ainsi l’existence de différents types d’humains:
1. Corps avec esprit. (note, “esprit” = “mental”)
2. Corps avec esprit et âme.
3. Corps avec esprit et Esprit, sans âme.
4. Corps avec esprit, Esprit et âme.
Devenaient, ainsi, compréhensibles mêmes certains phénomènes que l’Église décrit comme possessions diaboliques, qui surgiraient quand la personne ne désire pas la présence en soi, d’un “Être Lumineux” parasite et négatif.
Parfois, au contraire, nous avions peut-être à faire à des entités plus positives, qui vivaient en symbiose avec l’âme de celui qui la possède: effectivement l’Esprit ou être de lumière préfère stationner dans les corps de personnes ayant l’âme, parce que de cette manière il peut exploiter, pour ainsi dire, l’ “énergie” de l’âme et ne pas vieillir, étant la matrice de points de lumière dépourvue de dimension temporelle, et donc éternelle! Tous ces êtres veulent l’âme, parce qu’ils sont tous mortels et tous viennent la chercher dans le seul endroit de l’Univers, où peut-être par erreur, elle existe.
IMPLICATIONS FINALES
Le tableau ici esquissé pour la première fois à mémoire d’homme a le mérite de pouvoir expliquer tous les événements historiques et politiques des dernières années, outre à tous les phénomènes pour lesquels la science et la religion donnent des indications pour le moins confuses, nous permet de réinterpréter à la lumière de ces données toute l’histoire ancienne, les anciennes légendes et les mythes anciens, nous permet de comprendre la nature réelle de l’être humain et éclaircit les tentatives confuses du passé qui voulaient établir l’existence d’entités jamais bien définies, qui du monde de l’ésotérisme jusqu’aux phénomènes actuels inexpliqués de l’esprit humain, ont la prétention d’être reconnus définitivement.
D’un point de vue politique ont peut déduire parfaitement quel a été le rôle des puissances mondiales en gérant, à notre insu, le problème des extraterrestres sur notre planète, en effet, chaque fois que, pendant l’hypnose, nous nous trouvons face à la reproduction des copies, cela se passe toujours dans un milieu technologique souterrain, en présence tant de sauroïdes que de militaires terriens.
=> Dans le cas de nos enlevés (uniquement italiens) les militaires étaient TOUJOURS FRANCAIS, comme nous avions eu l’occasion d’écrire précédemment.
Les esprits extraterrestres insérés dans le cerveau de nos enlevés décrivent un tableau politique déroutant, en parfait accord avec cette branche de l’ufologie moderne qui porte le nom de Conspiration, selon laquelle les extraterrestres et nos gouvernants, à un moment donné de notre histoire, ont rédigé un pacte d’alliance à l’insu de la planète entière.
Le TABLEAU POLITIQUE décrit est le suivant.
Alors qu’en 1947, après la chute d’un ou plusieurs ovnis dans le désert du New Mexico, les américains s’aperçurent de l’existence des extraterrestres, certains d’entre eux entrèrent en contact avec le gouvernement des États-Unis, proposant un accord qui leur donnait la possibilité d’utiliser des humains non seulement pour la reproduction, mais pour extraire à partir de ces malheureux cette partie que nous avons appelé âme, qui aurait assuré aux extraterrestres la vie éternelle.
Les extraterrestres du type sauroïde, en échange, leur confièrent un certain nombre de connaissances technologiques destinées à être employées, maintenant comme dans le futur, uniquement par le comité restreint de ceux qui détiennent le pouvoir, outre une escorte d’âmes qui aurait servi à nos “seigneurs” pour atteindre la vie éternelle.
En d’autres termes le prix de la collaboration de nos gouvernants était payé en leur livrant des âmes qui appartenaient à la population qui les possédait: les sauroïdes seraient parvenus, dans le temps, à trouver une méthode en mesure d’enlever l’âme à celui qui l’avait et pour l’utiliser à fin d’atteindre l’éternité, délivrant aux “seigneurs” de la Terre, une certaine quantité d’âmes en échange des services reçus.
Le processus de connexion permanente avec âme prévoit de ne plus mourir vraiment, mais de vivre en éternité, parfaitement conscients, dans un corps compatible qui est périodiquement “mis à jour”. D’après cet accord pendant ce temps nos gouvernants alliés avec les sauroïdes auraient fait en sorte que la population de la Terre ne s’aperçoive de rien. La seule façon possible pour gérer « vita aeternam » le pouvoir sur les humains était celle de les rendre zombie, en commençant à convaincre la population, à travers le processus politique qui prend le nom de Globalisation, que tout le monde, dès le plus jeune âge, devra se faire introduire une puce dans le crâne.
Les prétextes sont nombreux et croyables:
“La puce vous aidera à survivre, parce qu’elle contient tous vos codes personnels; toutes les portes vous seront ouvertes automatiquement à votre passage, vous pourrez payer sans le moindre effort et sans craindre les vols, les hôpitaux auront immédiatement votre dossier médical et les médecins pourront vous prolonger (pour un peu) votre vie, et ainsi de suite. Naturellement, sans puce vous ne pourrez pas faire la plus basique des opérations bancaires. Vous serez “OUT”, en dehors du monde.”
Bien entendu personne ne vous dira que la puce en question, sans que vous en aperceviez, vous dira comment et pour qui voter, quand faire l’amour, quand dormir, quand et quoi rêver. Les brevets de ces puces sont, hélas, déjà été délivrés, les circuits électroniques nécessaires prennent la place de 2,5 x 2,5 millimètres et contiennent les instructions nécessaires pour pouvoir effectuer des troubles de conscience humaine; en plus la puce, une fois introduite dans le corps humain, s’alimente de façon autonome. Parmi les organisations qui, en collusion avec les sauroides, veulent transformer la Terre en un immense jeu électronique, se trouvent impliquées, avec leur adeptes au plus haut niveau, plusieurs sociétés secrètes: du Groupe de Thulé à la Golden Dawn, de l’Ordre des Chevaliers du Temple au Club of Rome et aux Rose-Croix.
Ce sont ceux qui gèrent les banques, les sources d’énergie et un certain type de politique sociale et religieuse: en employant les services secrets et les forces militaires ils transformeront lentement l’homme de libre penseur en esclave imbécile.
Tout ce que nous communiquaient depuis des années de façon confuse certaines personnes qui faisaient des révélations était donc absolument vrai. En ce lieu nous ne pouvons pas approfondir l’argument, qui sera traité, à part, ultérieurement.
Encore une fois la collusion entre pouvoir religieux, politique et économique est en train de produire un cocktail mortel pour l’être humain, qui se retrouve non seulement à la merci des extraterrestres, mais aussi à celle de ses propre “seigneurs” corrompus, ceux qui prétendent la Globalisation à tout prix pour pouvoir continuer a vivre et commander de façon privilégiée, comme dans le vieux film de science-fiction titré Zardoz.
PREVISIONS POUR L’AVENIR
Dans le cadre de ce scénario ahurissant il faut préciser que la deuxième phase de notre enquête, qui a duré bien quinze ans, se termine ici. Maintenant nous entamons la troisième phase, qui concerne la mesure, pour les sujets humains, de certains paramètres qui nous diront, espérons en temps réel, si ils ont été enlevés ou pas. Parallèlement nous étudions une méthode d’ autodéfense des abduction qui, pour être honnête, donne déjà les premiers, modestes, résultats positifs.
Laissons en pouvoir de ceux qui lisent leur propre futur, car le lecteur doit savoir que ce n’est pas notre intention de paraître plus ou moins crédibles, mais dénoncer certains faits sur lesquels nous avons travaillé pendant un temps assez long. Nous sommes parfaitement conscients du fait que parfois on considère comme vraie une chose qui est croyable et fausse une chose incroyable, et qu’entre crédibilité et vérité il n’y a aucune relation. Si le lecteur décidera de ne pas croire à un seul mot de ce qu’il a lu, nous ne nous sentirons nullement offensés; ce travail prétend uniquement être une modeste contribution pour la recherche sur les phénomènes d’Interférence Extraterrestre, je dirais presque dans la tentative désespérée de sauver ce qui peut être sauvé! Si jamais, comme nous craignons, nous aurions eu raison, les groupes ufologiques italiens et mondiaux, avec toutes les associations qui s’intéressent de problèmes similaires, n’auraient plus raison d’exister: bien d’autres institutions nouvelles devraient se charger de la gestion de phénoménologies si complexes et dangereuses.
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Quant aux méthodes pour contrer les abductions et s’en débarrasser, Malanga présente une étude qu’il a effectuée sur des années et qui selon lui donne déjà des résultats. La transcription se trouve en partie dans le document PDF ALIEN CICATRIX 2. Un fichier important que que vous trouverez sous le lien fourni en fin d’article.
Les traductions proposées sont parfois de bonne qualité, parfois nettement moins bonnes, d’un document à l’autre. Mais il semble que l’essentiel soit compréhensible, c’est le plus important.
N’ayant pas encore pris connaissance de l’ensemble de son matériel, je ne poursuivrai éventuellement les commentaires sur ces recherches, qu’après un examen plus approfondi des données scientifiques qui illustrent certains textes, ainsi qu’après une étude encore plus approfondie des méthodes de libération proposées. Rien n’est à négliger dans ce domaine.
Le sujet dans son ensemble reste chaud, bien malheureusement, mais nous pouvons nous réjouir de constater que la recherche, bien que toujours marginale même parmi les marginaux, commence à dévoiler ce que seuls certains ‘shamans’ dénonçaient jusqu’ici. Qu’un tel niveau de connaissance puisse être mis à jour par un chercheur de formation scientifique est la preuve que ces données ne sont pas si inaccessibles qu’elles en ont l’air. Comme nous le constatons ici, l’hypnose, voire des techniques de PNL à elles seules peuvent démasquer des intrusions et manipulations, à condition de les mener intelligemment, ce qui peut mener à des conclusions extrêmement pointues comme celles qui sont décrites par Malanga. Nous n’en sommes pas encore à démontrer l’existence de la Matrice en tant que structure d’emprisonnement des âmes, mais nous semblons bien nous diriger fermenent dans cette voie, grâce à la bonne volonté et à la détermination des personnes motivées par les questions les plus essentielles portant sur les mystères de l’existence humaine.
Source :
Corrado Malanga – Scénario Abductions
Corrado Malanga – Se Libérer en 4 étapes